Mon objectif : transmettre des connaissances, des outils et favoriser les échanges entre les participant.es afin que vous soyez à même d’engager des changements à l’issue de la formation.

Je transmets des outils pour que vous puissiez à votre tour agir sur l’égalité 

Pour des formations riches, autant sur la forme que sur le fond, j’alterne apports théoriques et statistiques, temps d’échanges et supports variés (témoignages filmés, extraits audio, QUIZZ, analyse d’albums, de manuels scolaires…).
En fonction de votre projet et de la durée de la formation : vous repartez avec des vidéos à présenter, des titres d’ouvrages à explorer, un atelier à mener …

Observer et compter les inégalités : les participant.es mènent l’enquête !

Dès que cela est possible, je propose un temps pour que les participant.es observent et comptent les inégalités, puis présentent leurs résultats, les confrontent aux statistiques et proposent des actions égalitaires.

Valeurs communes aux interventions que j’anime

J’aspire à :

    • Prévenir les rapports de domination : apprendre le partage de l’espace et de la parole, prendre conscience du sexisme mais également du racisme, prévenir le harcèlement. En bref, entretenir ou réactiver l’esprit de justice.
    • Forger un esprit critique : apprendre à interroger ce que l’on a vu, entendu, à vérifier ses sources, à comprendre l’importance des statistiques pour éviter les généralisations abusives et les contre-vérités1.  Vouloir savoir plutôt que croire.
    • Je souhaite montrer l’importance de savoir négocier et défendre ses intérêts, notamment aux filles qui, sauf exception, se construisent avec moins de certitudes sur elles-mêmes. Je trouve enfin important de contribuer à générer ou régénérer de l’empathie, notamment chez certains garçons qui infériorisent les filles.

1 Exemple d’observation rapportée en formation : « je vois bien que ça a changé, les hommes s’occupent plus de leurs enfants, ils portent de plus en plus leurs bébés en écharpe… ».
Réponse BinOcle : la part de travail domestique et parental prise en charge par les femmes a baissé (en partie du fait des plats préparés et du recours aux services à la personne) mais elles réalisent encore 70% du travail domestique (ménage, course, cuisine, linge). Et même lorsqu’elles travaillent à temps plein, elles réalisent 2h de soin aux enfants par jour, contre 50 minutes pour les hommes. Du côté de la prise en charge par les hommes du travail ménager et parental, cela change donc hélas peu et les sociologues ont dénommé ce que nous renvoie cette image des papas avec leurs bébés en bandoulière : « la force de l’exception ».